Troisième Lettre – Oscar et la Dame Rose: Leitura em Francês

Esta é a Troisième Lettre da série Oscar et la Dame Rose – Leitura em Francês.

 

Você, assim como outros, provavelmente não escutou falar do filme Oscar et la Dame Rose. E, se nem do filme escutou falar, duvido ainda mais que sequer saiba da existência do livro. Mas não se preocupe! Eu escrevo este texto especialmente para você saber um pouco mais sobre esse livro e qual o meu objetivo com ele. De antemão, saiba que sempre será lançado um texto novo aqui no blog com o áudio do livro lido por mim, Elisa. Inclusive, a première lettre e a deuxième lettre já estão no ar.

 

Este livro conta a história de Oscar, um garoto de 10 anos com leucemia, que vive no hospital. Lá, ele se  encontra a Dame Rose, uma senhora que visita crianças enfermas. Incentivado por ela, o rapaz começa a escrever cartas para Deus relatando os seus 12 últimos dias de vida. Dotada de uma imaginação fértil, Dame Rose faz com que Oscar acredite que é capaz de viver as emoções de uma vida inteira em apenas 12 dias. 

 

A ideia de juntar o blog com as leituras que realizei no Podcast Avec Elisa surgiram depois que comecei a fazer isso com o livro Le Petit Prince e obtive um feedback maravilhoso! 

 

Espero que você goste dessa junção e seja participativo, afinal, essa leitura é para você realizar uma grande imersão na língua e literatura francesa!

 

Êtes-vous prêts à vous laisser surprendre par l’histoire d’Oscar et la Dame Rose ?

 

Alors ouvrez grand vos oreilles…

1 – Escute a terceira carta do livro Oscar et la dame rose

Eu o aconselho a escutar duas vezes o áudio do capítulo antes de passar para os próximos passos. Você pode escutar no Spotify, Deezer, Anchor e entre outras plataformas!

3 – Ouça a história mais uma vez

 

Agora tente identificar as palavras do vocabulário na história, escutando-a mais uma vez.

2 – Compreenda o vocabulário

 

Autour = a volta de, cerca de


Cagoule = gorro


Catcheuse = lutadora


Clin d’oeil = piscada de olho


Dégonfler = esvaziar


Envie = vontade


Embrasser = beijar


Fântome = fantasma


Fée = fada

 

Imbattable = imbatível


Interchangeable = intermutável


Je suis ravie de vous connaître = eu estou encantada em conhecê-los


Mécontent = descontente


Peau bleutée = pele azulada


Pincent = do verbo pincer, beliscam


Pourries = podres


Ralenti = câmera lenta


Rater = falhar


Rigoler = rir


Rusé = astucioso


Sommeil = sono


Tapis = tapete


Tu ressens = do verbo resentir, você sente


Vaincre = vencer, alcançar uma vitória

4 – Responda as questões

 

1. Qui sont les gens à l’hôpital que Oscar aime ?

 

2. Qui est Peggy Blue et où habite-t-elle ? 

 

3. Pourquoi Oscar ne dit pas à Peggy qu’il l’aime ?

 

4. Pendant la lettre, combien d’âges Oscar a eu ?

 

5. Qui est Sandrine et comment appellent-ils Sandrie ?

 

6. Quel est le rêve de Sandrine ?

 

7. Complétez la phrase “À dix-huit ans, ….”.

 

8. Que dit Oscar à Peggy ? Et que répond Peggy à Oscar ?

6 – Leia a transcrição da primeira carta

Cher Dieu,

 

Aujourd’hui, j’ai vécu mon adolescence et ça n’a pas glissé tout seul. Quelle histoire ! J’ai eu plein d’ennuis avec mes copains, avec mes parents et tout ça à cause des filles. Ce soir, je ne suis pas mécontent d’avoir vingt ans parce que je me dis que, ouf, le pire est derrière moi. La puberté, merci ! Une fois mais pas deux !

 

D’abord, Dieu, je te signale que tu n’es pas venu. J’ai très peu dormi aujourd’hui vu les problèmes de puberté que j’ai eus, donc je n’aurais pas dû te rater. Et puis, je te le répète, si je roupille, secoue-moi.

 

Au réveil, Mamie-Rose était déjà là. Pendant le petit déjeuner, elle m’a raconté ses combats contre Téton Royal, une catcheuse belge, qui engloutissait trois kilos de viande crue par jour qu’elle arrosait avec un tonneau de bière ; il paraît que ce qu’elle avait de plus fort, Téton Royal, c’était l’haleine, à cause de la fermentation viande-bière, et que rien que ça, ça envoyait ses adversaires au tapis. Pour la vaincre, Mamie-Rose avait dû improviser une nouvelle tactique : mettre une cagoule, l’imprégner de lavande et se faire appeler la Bourrelle de Carpentras. Le catch, elle dit toujours, ça demande aussi des muscles dans la cervelle.

 

— Qui aimes-tu bien, Oscar ?

 

— Ici ? À l’hôpital ?

 

— Oui. — Bacon, Einstein, Pop Corn.

 

— Et parmi les filles ?

 

Ça m’a bloqué, cette question. Je n’avais pas envie de répondre. Mais Mamie-Rose attendait et, devant une catcheuse de classe internationale, on peut pas faire le guignol trop longtemps.

 

— Peggy Blue.

 

Peggy Blue, c’est l’enfant bleue. Elle habite l’avant-dernière chambre au fond du couloir. Elle sourit gentiment mais elle ne parle presque pas. On dirait une fée qui se repose un moment à l’hôpital. Elle a une maladie compliquée, la maladie bleue, un problème de sang qui devrait aller aux poumons et qui n’y va pas et qui, du coup, rend toute la peau bleutée. Elle attend une opération qui la rendra rose. Moi je trouve que c’est dommage, je la trouve très belle en bleu, Peggy Blue. Il y a plein de lumière et de silence autour d’elle, on a l’impression de rentrer dans une chapelle quand on s’approche.

 

— Est-ce que tu le lui as dit ?

 

— Je ne vais pas me planter devant elle pour lui dire « Peggy Blue, je t’aime bien ».

 

— Si. Pourquoi ne le fais-tu pas ?

 

— Je ne sais même pas si elle sait que j’existe.

 

— Raison de plus.

 

— Vous avez vu la tête que j’ai ? Faudrait qu’elle apprécie les extraterrestres, et ça, j’en suis pas sûr.

 

— Moi je te trouve très beau, Oscar.

 

Là, elle a un peu freiné la conversation, Mamie-Rose. C’est agréable d’entendre ce genre de chose, ça fait frissonner les poils, mais on sait plus très bien quoi répondre.

 

— Je veux pas séduire qu’avec mon corps, Mamie-Rose.

 

— Qu’est-ce que tu ressens pour elle ?

 

— J’ai envie de la protéger contre les fantômes.

 

— Quoi ? Il y a des fantômes, ici !

 

— Oui. Toutes les nuits. Ils nous réveillent on ne sait pas pourquoi. On a mal parce qu’ils pincent. On a peur parce qu’on ne les voit pas. On a de la difficulté à se rendormir.

 

— En as-tu souvent, toi, des fantômes ?

 

— Non. Moi, le sommeil, c’est ce que j’ai de plus profond. Mais Peggy Blue, je l’entends parfois crier la nuit. J’aimerais bien la protéger.

 

— Va lui dire.

 

— De toute façon, je ne pourrais pas le faire vraiment parce que, la nuit, on n’a pas le droit de quitter sa chambre. C’est le règlement.

 

— Est-ce que les fantômes connaissent le règlement ? Non. Sûrement pas. Sois rusé : s’ils t’entendent annoncer à Peggy Blue que tu monteras la garde pour la protéger d’eux, ils n’oseront pas venir ce soir.

 

— Mouais… mouais…

 

— Quel âge as-tu, Oscar ?

 

— Je ne sais pas. Quelle heure est-il ?

 

— Dix heures. Tu vas sur tes quinze ans.

 

Ne crois-tu pas qu’il est temps d’avoir le courage de tes sentiments ?

 

À dix heures trente, je me suis décidé et j’ai marché jusqu’à la porte de sa chambre qui était ouverte.

 

— Salut, Peggy, c’est Oscar.

 

Elle était posée sur son lit, on aurait dit Blanche-Neige lorsqu’elle attend le prince, quand ces couillons de nains croient qu’elle est morte, Blanche-Neige comme les photos de neige où la neige est bleue, non pas blanche.

 

Elle s’est tournée vers moi et là, je me suis demandé si elle allait me prendre pour le prince ou l’un des nains. Moi, j’aurais coché « nain » à cause de mon crâne d’œuf mais elle n’a rien dit, et c’est ça qu’est bien, avec Peggy Blue, c’est qu’elle ne dit jamais rien et que tout reste mystérieux.

 

— Je suis venu t’annoncer que, ce soir, et tous les soirs suivants, si tu veux bien, je monterai la garde devant ta chambre pour te protéger des fantômes.

 

Elle m’a regardé, elle a battu des cils et j’ai eu l’impression que le film passait au ralenti, que l’air devenait plus aérien, le silence plus silencieux, que je marchais comme dans de l’eau et que tout changeait lorsqu’on s’approchait de son lit éclairé par une lumière qui tombait de nulle part.

 

— Eh, minute, Crâne d’Œuf : c’est moi qui garderai Peggy !

 

Pop Corn se tenait dans l’encadrement de la porte, ou plutôt, il remplissait l’encadrement de la porte. J’ai tremblé. Sûr que si c’est lui qui fait la garde, ça sera efficace, aucun fantôme ne pourra plus passer.

 

Pop Corn a fait un clin d’œil à Peggy.

 

— Hein, Peggy ? Toi et moi, on est copains, non ?

 

Peggy a regardé le plafond. Pop Corn a pris ça pour une confirmation et m’a tiré dehors.

 

— Si tu veux une fille, tu prends Sandrine. Peggy, c’est chasse gardée.

 

— De quel droit ?

 

— Du droit que j’étais là avant toi. Si t’es pas content, on peut se battre.

 

— En fait, je suis super-content.

 

J’étais un peu fatigué et je suis allé m’asseoir dans la salle de jeux. Justement, il y avait Sandrine. Sandrine, elle est leucémique, comme moi, mais elle, son traitement a l’air de réussir. On l’appelle la Chinoise parce qu’elle a une perruque noire, brillante, aux cheveux raides, avec une frange, et que ça la fait ressembler à une Chinoise. Elle me regarde et fait éclater une bulle de chewing-gum.

 

— Tu peux m’embrasser, si tu veux.

 

— Pourquoi ? Le chewing-gum te suffit pas ?

 

— T’es même pas capable, minus. Je suis sûre que tu ne l’as jamais fait.

 

— Alors là, tu me fais rigoler. À quinze ans, je l’ai déjà fait plusieurs fois, je peux t’assurer.

 

— T’as quinze ans ? qu’elle me fait, surprise. Je vérifie à ma montre.

 

— Oui. Quinze ans passés.

 

— J’ai toujours rêvé d’être embrassée par un grand de quinze ans.

 

— C’est sûr, c’est tentant, que je dis.

 

Et là, elle me fait une grimace pas possible avec ses lèvres qu’elle pousse en avant, on dirait une ventouse qui s’écrase sur une vitre, et je comprends qu’elle attend un baiser.

 

En me retournant, je vois tous les copains qui m’observent. Pas moyen de me dégonfler. Faut être un homme. C’est l’heure.

 

Je m’approche et je l’embrasse. Elle m’accroche avec les bras, je ne peux plus m’en décoller, ça mouille, et tout d’un coup, sans prévenir elle me refile son chewing-gum. De surprise, je l’ai avalé tout rond. J’étais furieux.

 

C’est à ce moment-là qu’une main m’a tapé dans le dos. Un malheur n’arrive jamais seul : mes parents. On était dimanche et j’avais oublié !

 

— Tu nous présentes ton amie, Oscar ?

 

— Ce n’est pas mon amie.

 

— Tu nous la présentes quand même ?

 

— Sandrine. Mes parents. Sandrine.

 

— Je suis ravie de vous connaître, dit la Chinoise en prenant des airs sucrés.

 

Je l’aurais étranglée.

 

— Veux-tu que Sandrine vienne avec nous dans ta chambre ?

 

— Non. Sandrine reste ici.

 

De retour dans mon lit, je me suis rendu compte que j’étais fatigué et j’ai dormi un peu. De toute façon, je voulais pas leur parler.

 

Quand je me suis réveillé, évidemment ils m’avaient apporté des cadeaux. Depuis que je suis en permanence à l’hôpital, mes parents ont du mal avec la conversation ; alors ils m’apportent des cadeaux et l’on passe des après-midi pourries à lire les règles du jeu et les modes d’emploi. Mon père, il est intrépide avec les notices : même quand elles sont en turc ou en japonais, il ne se décourage pas, il s’accroche au schéma. Il est champion du monde du dimanche après-midi gâché.

 

Aujourd’hui, il m’avait apporté un lecteur de disques. Là, j’ai pas pu critiquer même si j’en avais envie.

 

— Vous n’êtes pas venus, hier ?

 

— Hier ? Pourquoi veux-tu ? Nous ne pouvons que le dimanche. Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

 

— Quelqu’un a vu votre voiture dans le parking.

 

— Il n’y a pas qu’une Jeep rouge au monde. C’est interchangeable, les voitures.

 

— Ouais. C’est pas comme les parents. Dommage.

 

Là, je les avais cloués sur place. Alors j’ai pris l’appareil à musique et j’ai écouté deux fois le disque Casse-Noisette, sans m’arrêter, devant eux. Deux heures sans qu’ils puissent dire un mot. Bien fait pour eux.

 

— Ça te plaît ?

 

— Ouais. J’ai sommeil.

 

Ils ont compris qu’ils devaient partir. Ils étaient mal comme tout. Ils ne pouvaient pas se décider. Je sentais qu’ils voulaient me dire des choses et qu’ils n’y arrivaient pas. C’était bon de les voir souffrir, à leur tour.

 

Puis ma mère s’est précipitée contre moi, m’a serré très fort, trop fort, et a dit d’une voix secouée :

 

— Je t’aime, mon petit Oscar, je t’aime tellement.

 

J’avais envie de résister mais au dernier moment je l’ai laissée faire, ça me rappelait le temps d’avant, le temps des gros câlins tout simples, le temps où elle n’avait pas un ton angoissé pour me dire qu’elle m’aimait.

 

Après ça, j’ai dû m’endormir un peu.

 

Mamie-Rose, c’est la championne du réveil. Elle arrive toujours sur la ligne d’arrivée au moment où j’ouvre les yeux. Et elle a toujours un sourire à ce moment-là.

 

— Alors, tes parents ?

 

— Nuls comme d’habitude. Enfin, ils m’ont offert Casse-Noisette.

 

— Casse-Noisette ? Ça, c’est curieux. J’avais une copine qui s’appelait comme ça. Une sacrée championne. Elle brisait le cou de ses adversaires entre ses cuisses. Et Peggy Blue, tu es allé la voir ?

 

— M’en parlez pas. Elle est fiancée à Pop Corn.

 

— Elle te l’a dit ?

 

— Non, lui.

 

— Du bluff !

 

— Je crois pas. Je suis sûr qu’il lui plaît plus que moi. Il est plus fort, plus rassurant.

 

— Du bluff, je te dis ! Moi qui avais l’air d’une souris sur un ring, j’en ai battu des catcheuses qui ressemblaient à des baleines ou à des hippopotames. Tiens, Plum Pudding, l’Irlandaise, cent cinquante kilos à jeun en slip avant sa Guinness, des avant-bras comme mes cuisses, des biceps comme des jambons, des jambes dont je ne pouvais pas faire le tour. Pas de taille, pas de prises. Imbattable !

 

— Comment avez-vous fait ?

 

— Quand il n’y a pas de prise, c’est que c’est rond et que ça roule. Je l’ai fait courir, histoire de la fatiguer, puis je l’ai renversée, Plum Pudding. Il a fallu un treuil pour la relever. Toi, mon petit Oscar, tu as l’ossature légère et tu n’as pas beaucoup de bifteck, c’est certain, mais la séduction, ça ne tient pas qu’à l’os et qu’à la viande, ça tient aussi aux qualités de cœur. Et ça, des qualités de cœur, tu en as plein.

 

— Moi ?

 

— Va voir Peggy Blue et dis-lui ce que tu as sur le cœur.

 

— Je suis un peu fatigué.

 

— Fatigué ? Quel âge as-tu à cette heure ? Dix-huit ans ? À dix-huit ans, on n’est pas fatigué.

 

Elle a une façon de parler, Mamie-Rose, qui donne de l’énergie.

 

La nuit était tombée, les bruits résonnaient plus fort dans la pénombre, le linoléum du couloir réfléchissait la lune.

 

Je suis entré chez Peggy et lui ai tendu mon appareil à musique.

 

— Tiens. Écoute « La valse des flocons ». C’est tellement joli que ça me fait penser à toi.

 

Peggy a écouté « La valse des flocons ». Elle souriait comme si c’était une vieille copine, la valse, qui lui racontait des choses drôles à l’oreille.

 

Elle m’a rendu l’appareil et elle m’a dit :

 

— C’est beau.

 

C’était son premier mot. C’est chouette, non, comme premier mot ?

 

— Peggy Blue, je voulais te dire : je veux pas que tu te fasses opérer. Tu es belle comme ça. Tu es belle en bleu.

 

Ça, j’ai bien vu que ça lui faisait plaisir. Je l’avais pas dit pour, mais c’était clair que ça lui faisait plaisir.

 

— Je veux que ce soit toi, Oscar, qui me protèges des fantômes.

 

— Compte sur moi, Peggy. J’étais vachement fier. Finalement, c’est moi qui avais gagné !

 

— Embrasse-moi.

 

Ça, c’est vraiment un truc de filles, le baiser, comme un besoin chez elles. Mais Peggy, à la différence de la Chinoise, elle n’est pas une vicieuse, elle m’a tendu la joue et c’est vrai que ça m’a fait chaud, à moi aussi, de l’embrasser.

 

— Bonsoir, Peggy.

 

— Bonsoir, Oscar.

 

Voilà, Dieu, c’était ma journée. Je comprends que l’adolescence, on appelle ça l’âge ingrat. C’est dur. Mais finalement, sur le coup des vingt ans, ça s’arrange. Alors je t’adresse ma demande du jour : je voudrais que Peggy et moi on se marie. Je ne suis pas certain que le mariage appartienne aux choses de l’esprit, si c’est bien ta catégorie. Est-ce que tu fais ce genre de vœu, le vœu agence matrimoniale ? Si tu n’as pas ça en rayon, disle-moi vite que je puisse me tourner vers la bonne personne. Sans vouloir te presser, je te signale que je n’ai pas beaucoup de temps. Donc : mariage d’Oscar et Peggy Blue. Oui ou non. Vois si tu fais, ça m’arrangerait.

 

À demain, bisous,

Oscar.



P.-S. Au fait, c’est quoi, finalement, ton adresse ?

E então, o que você achou da troisième lettre do livro Oscar et la Dame Rose? Gostou? Achou difícil acompanhar a leitura ou teve dificuldade com os vocabulários? Sei que algumas pessoas tiveram dificuldade com os vocabulários, mas isso faz parte! Qualquer palavra que você não conhecer e não tiver a tradução, pode perguntar para mim aqui nos comentários.

 

E as perguntas? Escreva as respostas aqui nos comentários para que eu possa corrigir! E não se esqueça, sempre lançarei um capítulo do livro junto com o áudio para que você faça uma imersão maravilhosa!

 

Aproveitando a ocasião, eu lancei o Défi 21 Jours – Français Immédiat nas minhas redes sociais com a proposta de fazer com que vocês ativem de vez o francês! No Défi 17 falei sobre esse livro e espero que quem tenha vindo aqui através do défi, goste da leitura de Oscar et la Dame Rose!

 

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À la prochaine,

Elisa.

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